C'est la deuxième fois que la fin du SEF, décidée par le précédent gouvernement et approuvée en novembre 2021 à l'Assemblée de la République, est reportée et approuvée au Parlement.
Cette loi détermine que les pouvoirs administratifs actuels du SEF en ce qui concerne les citoyens étrangers seront exercés par une nouvelle institution, l'Agence portugaise pour la migration et l'asile, et par l'Institut des registres et des notaires, en plus du transfert des pouvoirs de police à la PSP, la GNR et la police judiciaire.
Dans le projet de loi, le gouvernement a invoqué la dissolution de l'Assemblée de la République, la pandémie de Covid-19 et le contexte de la guerre en Ukraine comme justifications pour ne pas avoir avancé dans la restructuration des services.